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Le blog de Christophe Lamoure

Spiritualité ?

6 Avril 2014 , Rédigé par Christophe Lamoure Publié dans #Textes

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Samedi 5 avril, j'ai été invité à participer à une table ronde sur le thème " Spiritualités d'aujourd'hui " dans le cadre du Forum des chrétiens en mouvement, manifestation oecuménique, ouverte sans restrictions aux croyants et non croyants. Je disposais de 30 minutes pour proposer une réflexion. Voici le texte de mon intervention.

 

 

Le mot spiritualité renvoie au latin spiritus, esprit. Une spiritualité a pour fonction de prendre en charge les besoins de l'esprit. De quel ordre sont ces besoins ? On pourrait dire qu'ils relèvent d'un besoin fondamental qui est le besoin de comprendre. Cependant, il faut préciser : les sciences, qu'il s'agisse des sciences exactes ou des sciences humaines, répondent d'une manière profonde au besoin de comprendre, pourtant on ne les confondra pas avec des spiritualités. Ce qui caractérise la démarche spirituelle, c'est qu'elle porte sur le besoin de donner un sens à son existence.

 

La question spirituelle par excellence, est le question du sens de l'existence humaine. En quoi consiste une vie d'être humain, comment mener la vie la plus humaine possible, cette vie a-t-elle un sens, a-t-elle un but ou pas ? Telles sont les questions qui provoquent une recherche spirituelle. En droit, tout être humain s'affronte à ces questions car il n'est pas possible de les esquiver, à moins de se mutiler en ignorant les besoins de son esprit. Il me semble que ce besoin est aussi fondamental que les besoins du corps, que l'esprit a faim et soif mais que cette faim et cette soif ne se satisfont pas avec du pain ou de l'eau mais avec du sens.

 

Longtemps, on le sait, ce besoin de sens a été pris en charge par les religions et, plus spécifiquement dans notre civilisation, par le catholicisme. Le questionnement spirituel légitime qui anime tout être humain trouvait un apport précieux et profond dans cette pensée fondée sur des textes interprétés comme inspirés de Dieu et révélant à l'homme la raison de son existence et le sens de celle-ci. Le développement d'une institution hiérarchique, l’Église catholique, organisant les différents aspects de la vie religieuse, la détermination de dogmes, c'est-à-dire de vérités présentées comme absolues, leur défense et leur enseignement par des interprètes autorisés, ont connu une faveur historique exceptionnelle qui leur a conféré une position d'influence majeure.

 

Cette position a aujourd'hui perdu de sa majesté en Occident et elle tend à se minorer. Max Weber, le sociologue allemand, a forgé l'expression de « désenchantement du monde » pour désigner ce phénomène de civilisation qui a vu le recul des croyances religieuses et la perte d'influence des institutions qui les diffusent, les entretiennent et les approfondissent. La naissance de la science et de la philosophie modernes aux alentours du 17ème siècle a complètement transformé notre rapport au monde, à l'existence et a bouleversé les principes régulant la vie de l'esprit : nous sommes passés « du monde clos à l'univers infini », d'une nature portant les traces du sacré et du divin à une nature écrite en langue mathématique, d'une réalité exprimant un projet transcendant à une réalité comprise comme expression d'un jeu de forces mécaniques et aveugles.

 

L'esprit humain a conquis son autonomie en rejetant le principe d'autorité et en faisant valoir les ressources et la fécondité de l'exercice critique et rationnel. Le doute est devenu une vertu fondamentale : rien ne devait plus être accepté qu'au terme d'un examen serré et sans concessions. L'individu doit être éduqué, formé pour pouvoir se servir de sa propre raison et devenir autonome, capable d'obéir à la loi qu'il s'est lui-même donnée. La progression de la conscience et des droits individuels a mis à mal les formes d'autorité traditionnelles. Chacun, de plus en plus, a voulu choisir son mode de vie, ses croyances, sa conduite.

 

On pourrait dire qu'à ce moment-là, le modèle explicatif modelé par la religion s'est vu dépassé par un nouveau modèle explicatif modelé par la raison. Le 18ème, le siècle des Lumières, a constitué un moment privilégié de cette substitution. « Ose penser par toi-même », telle est la devise des Lumières clame le philosophe allemand Emmanuel Kant. Penser par soi-même signifie s'affranchir des tutelles, en l'occurrence les autorités politiques et religieuses, le prince et le prêtre. Un motif développé par les partisans des Lumières affirme que le développement de la connaissance, le progrès scientifique et technique, permettront de résoudre tous les problèmes qui se posent aux hommes et finalement leur apporteront le bonheur. Tout se passe alors comme si était venu se substituer à la spiritualité religieuse chrétienne une spiritualité rationaliste, pour ne pas dire scientiste.

 

Pourtant, Kant avait clairement défini les limites inhérentes au progrès de la raison scientifique : celle-ci a pour vocation de rendre intelligible les phénomènes naturels mais elle ne saurait élucider les questions métaphysiques, autrement dit elle ne saurait répondre à la question du sens de l'existence. Car la science s'élabore à partir de faits observables, mesurables, manipulables, mais elle ne saurait arbitrer des questions relatives au sens et aux valeurs. Que l'univers et les phénomènes qui s'y produisent puissent être expliqués certes, au moins dans une certaine mesure, mais que cet univers ait une cause ou non, que l'existence de l'être humain ait un sens ou non, et lesquels, cela la science ne peut le dire car il ne s'agit plus de questions physiques mais de questions métaphysiques. Ici, la spiritualité, le souci spirituel, retrouve ses droits et sa légitimité.

 

Cependant, la prise de conscience que la science ne peut pas et ne doit pas chercher à répondre aux questions spirituelles qui appartiennent à un domaine spécifique n'a pas nécessairement redonné un nouvel élan à la spiritualité. En effet, au cours du 19ème et du 20ème siècles, les individus ont de plus en plus investi leur attentes, en termes de sens donné à leur existence, dans la sphère du politique. La politique est devenue la nouvelle et puissante pourvoyeuse de sens. La quête de sens n'est plus religieuse, elle n'est plus rationaliste, elle est politique. Et l'on voit naître au tournant du 19eme et du 20eme siècles des idéologies politiques qui distinguent un sens à l’œuvre dans l'histoire.

 

Le sens de l'existence des individus s'accomplit dans l'éclosion et l'avènement du sens de l'histoire. Le nazisme et le communisme sont les exemples les plus remarquables de ce type de pensée. Raymond Aron, pour les caractériser, parlaient de « religions séculières ». Ce sont des visions du monde qui rendent raison du déroulement de l'histoire selon une logique implacable (la lutte des races ou la lutte des classes) et qui attribuent une fin à cette histoire (le règne de la race des seigneurs, la race aryenne, dans un cas, ou la dictature du prolétariat, préalable à l'instauration d'une société sans classes, dans l'autre cas). Le salut de l'humanité et des individus qui la composent passent par le combat politique et son succès.

 

Bien que de solides arguments aient été avancés contre une telle conception, c'est l'histoire elle-même qui s'est chargé de discréditer de telles ambitions. Chacun connaît le funeste destin de ces entreprises politiques, conduisant à l'établissement de sociétés totalitaires qui, loin de favoriser l'épanouissement des individus, les ont au contraire privés des plus élémentaires libertés. La quête de sens a été déçue par ces entreprises politiques et de moins en moins de gens croient en la capacité de la politique, comme de moins en moins de gens croient en la capacité de la science, à pouvoir donner un sens à leur existence.

 

Trois tentatives se sont donc succédées, la tentative religieuse, la tentative rationaliste et la tentative politique, qui, pour des raisons diverses, ont échoué à satisfaire ce besoin de sens qui, je crois, caractérise la démarche spirituelle. Le constat de ce triple échec peut conduire au scepticisme, voire même au nihilisme, compris comme le fait de ne plus croire en rien. Et sans doute, notre époque est-elle peuplée de nombreux sceptiques, voire de quelques nihilistes. Cette situation interroge : est-il possible de vivre sans croire en rien ? Est-il souhaitable de vivre sans croire en rien ?

 

La seconde question disparaît dès lors que l'on répond à la première par la négative : il ne semble guère possible à un être humain de vivre sans croire en rien. La croyance première et fondamentale qui définit d'une certaine manière l'être humain, c'est la croyance au sens ; un être humain croit au sens. C'est la condition de son existence en tant qu'être social, ce qu'il est d'abord. Je dirai même qu'il ne s'agit pas d'un choix, être humain implique d'évoluer dans un univers de sens ; dès lors que l'on parle, dès lors que l'on pense, on est plongé dans cet univers, sans possibilité jamais de s'en extraire. Les trois échecs mentionnés plus haut n'ont d'ailleurs pas dissuadé de chercher du sens, témoin cette formidable prolifération et ce formidable succès de livres, de magazines, de cours qui se proposent de nous guider dans cette exploration. Si nous sommes des sceptiques, nous sommes des sceptiques provisoires, en attente d'un sens à venir.

 

Quels enseignements peut-on tirer des trois tentatives mentionnées ? Je dirais que chacune dans son registre propre, au-delà de ses imperfections, nous éclairent sur des dimensions essentielles de toute démarche spirituelle. La tentative religieuse invite l'être humain à se penser comme appartenant à une réalité qui le transcende, qui le dépasse. La tentative rationaliste souligne l'importance de conduire cette recherche sans abdiquer sa raison et la liberté de penser et de critiquer qui la définissent. La tentative politique enseigne que cette démarche ne peut s'accomplir qu'à trouver un prolongement collectif. On pourrait résumer ces trois points ainsi : la spiritualité est ouverture à l'humilité, contre la démesure, à la raison, contre l'irrationnel et à la fraternité, contre l'égoïsme.

 

Il va de soi que les différents moments que j'ai décrits n'impliquent pas que la religion, le rationalisme ou la politique soient des ordres dépassés pour conduire une démarche spirituelle. Il s'agissait de proposer une lecture, certes schématique, de certaines étapes qui ont scandé notre histoire récente. Plus conscients de ces aspects, peut-être est-on plus en mesure de poursuivre une démarche spirituelle féconde, c'est-à-dire lucide.

 

Pour terminer, je soulignerais l'apport possible de la philosophie sur le plan de la spiritualité. Ce thème jouit d'une certaine actualité et d'une certaine importance dans la philosophie contemporaine. Mais celui qui a sans doute ouvert la voie à cette exploration philosophique, un philosophe du nom de Pierre Hadot, a indiqué qu'elle ne faisait que renouer avec la philosophie à son origine, c'est-à-dire avec la philosophie grecque. Cette dernière était tout entière dirigée vers une volonté d'accomplissement spirituel. Il ne s'agissait pas alors de philosopher pour construire des théories mais de philosopher pour élaborer une sagesse, un art de vivre. Bref, les philosophes grecs peuvent nous remettre sur le chemin d'une philosophie pratique et être sur ce chemin de forts bons guides.

 

Je voudrais en donner un exemple.

 

Selon les stoïciens, l'usage que nous faisons ordinairement de notre temps est aberrant et fait le lit de notre malheur. Nous vivons comme si nous étions immortels.

 

Ce faisant, nous dépensons notre temps sans plus y réfléchir, nous l'abandonnons à toutes sortes d'occupations sans établir de priorité, songeant que ce que nous ne faisons pas aujourd'hui, nous pourrons toujours le faire demain. Bref, nous vivons comme si nous avions plus de temps qu'il n'en faut.

 

Paradoxalement, un autre aspect de notre expérience commune du temps réside dans le sentiment du manque. Souvent, nous éprouvons la désagréable sensation de ne pas avoir assez de temps pour faire tout ce que nous voudrions. Nous sommes bousculés par un emploi du temps surchargé qui ne nous laisse que peu de répit.

 

Cependant, dans les deux cas, le sentiment du manque de temps ou le sentiment de l'abondance de temps, la conclusion se ressemble : en général, vient un moment où, les effet du temps passé, vieillesse, faiblesses, diminution ou perte de certaines capacités, l'approche de la mort provoquent la conscience que nous n'en avons plus pour longtemps, autrement dit nous nous apercevons que le temps, le temps de notre vie est limité. Alors surgissent regrets, remords, tristesse, comme l'exprime si justement Tolstoï dans son récit La Mort d'Ivan Ilitch. « Et si vraiment ma vie, ma vie consciente ne fut pas ce qu'elle aurait dû être ? » se demande-t-il douloureusement. « Tout ce qui te faisait vivre et dont tu vis, - c'est mensonge, tromperie, qui te cachent la vie et la mort. »

 

D'après les stoïciens, il est possible de s'épargner ce pénible réveil tardif et c'est possible ici et maintenant, sans délai, pour n'importe lequel d'entre nous. Il est possible de transformer notre rapport au temps. Le temps est ce qu'il est, irréversible, limité, c'est entendu. En revanche, notre relation au temps, elle, dépend de nous. De quoi s'agit-il au fond ? Il s'agit de ne pas être négligent dans notre façon d'employer notre temps. Ce à quoi nous consacrons du temps doit être l'effet d'un choix et non l'effet du hasard, du conformisme ou de l'instinct. A cette condition, nous mènerons une existence libre, sinon nous serons esclaves de ce qui en dépend pas de nous : les circonstances, l'opinion des autres, nos pulsions.

 

Avons-nous trop de temps ou manquons-nous de temps ? Les stoïciens pensent que nous n'en avons ni trop ni trop peu, que la question ainsi posée est mal posée. La question du temps n'est pas une question de quantité mais c'est une question de qualité. Vivre longtemps ne fait pas nécessairement une belle vie, on peut vivre longtemps dans la tristesse, le ressentiment ou la déception. Vivre, c'est habiter le présent et en tirer les ressources de plaisir, d'expérience, de découverte qu'il offre. Ne plus négliger le temps dont nous disposons, en prendre soin.

 

 

 

Ces réflexions me paraissent revêtir une actualité certaine. En effet, aujourd'hui, les dispositifs visant à nous confisquer ce temps libre sont si nombreux et si puissants que la méditation stoïcienne peut paraître recouvrir un caractère d'urgence. « On » se dispute notre temps comme jamais aucune puissance ne s'était disputé notre temps. L'industrie du divertissement vise à remplir notre temps libre, à l'occuper par toutes sortes d'activités dont il n'est pas certain que toutes présentent le même intérêt ni la même richesse. De plus, cette occupation de notre temps l'inscrit et le récupère dans des formes marchandes élaborées en vue de faire de nous des consommateurs toujours plus zélés. Comme si le projet était de rendre impensable et impraticable des expériences du temps libérées de l'impératif marchand. Pas de temps mort dans l'exigence consumériste. C'est une façon très contemporaine d'être dépossédé de son temps, à quoi la réflexion stoïcienne peut apporter des éléments de réflexion pour une autre pratique du temps.

 

On se souvient des propos de M. Le Lay, ex-dirigeant de la chaîne TF1, expliquant que la mission de la chaîne était de « vendre du temps de cerveau disponible pour Coca-Cola ». A cette vision des choses, peuvent être opposés le principe et la conviction que le temps libre n'est pas un bien marchand, qu'il n'est pas à vendre, que c'est même là sa spécificité, ce qui le distingue du temps de travail. L'homme libre est celui qui dispose de son temps, choisit son emploi, non celui qui délègue à d'autres le soin de décider à quoi il doit être consacré et en vue de quelle fin.

 

Un autre aspect contre quoi les stoïciens peuvent aider à lutter est ce que j’appellerai l'idéologie de l'affairement, cette étrange conviction qu'il est bon d'être débordé, que c'est un signe de réussite. J'inclinerai pour ma part à y voir plutôt le signe d'un échec patent, celui de quelqu'un qui n'a pas de temps pour soi, qui n'est pas maître de son temps mais esclave d'un activisme ou de ce que certains ont pu appeler le bougisme. Marc-Aurèle était empereur romain, un homme occupé s'il en est, il trouvait pourtant le temps de faire de la philosophie. Le temps ne manque jamais, seulement la résolution d'en user à telle ou telle activité.

 

Michel Foucault évoquait le mot d'hétérotopies pour désigner des espaces arrachés ou soustraits aux découpages et aux usages sociaux, des lieux créés par des individus afin de vivre et d'expérimenter l'espace d'une façon singulière, originale, libre. Inventer des espaces à soi comme les enfants qui s'enfoncent sous les couvertures du lit des parents et s'imaginent être dans une galerie conduisant dans un monde mystérieux, dans un autre monde. Je parlerai volontiers à sa suite d'hétérochronies, de l'importance, de la nécessité d'inventer des temps autres, arrachés ou soustraits aux découpages et aux usages sociaux du temps. Une des façons les plus simples et les plus puissantes d'y parvenir me semble résider dans les pratiques spirituelles : prier, écrire, chanter, peindre, méditer, lire, etc.

 

Le temps ordinaire est ici interrompu selon une singularité, une subjectivité rendue à elle-même, libre de construire une durée et un itinéraire originaux.

 

Ces pratiques consistent alors à se glisser dans un pli du temps où l'on trouve abri et possibilité de s'expérimenter autre qu'on est, c'est-à-dire autre que les autres vous font. C'est une modalité de la présence d'une valeur inestimable. Face à des techniques de plus en plus intrusives, cette possibilité de composer un temps privé est une composante essentielle de la liberté.

 

Telle me paraît être la vocation de la spiritualité, quelque forme qu'elle prenne : échapper pour l'individu à l'absorption par le social.


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J
Bonjour,<br /> <br /> Oui, Frère Elyôn est bien le premier et le dernier des Prophètes, ou Elie réincarné, en ces temps de la fin et j'en suis personnellement convaincu ! Car nul homme au monde ne peut apporter autant de Révélations surprenantes, mais toujours en corrélation avec les Saintes Écritures, si Frère Elyôn n'était pas L'Envoyé de la Sainte Trinité ! D'autant plus qu'Elie est annoncé, mais aussi Enock, par la venue des &quot;deux Témoins&quot; dans l'Apocalypse de Saint Jean. Prophétie également révélée par La Sainte Vierge Marie à Mélanie de la Salette. Aujourd'hui, c'est Elie seul qui se présente à nous et c'est une grande grâce pour nous autres Français, mais aussi pour les Européens : Dieu soit loué ! L'autre Témoin, d'après Frère Elyôn interviendra plus tard, lorsqu'il sera prêt. Frère Elyôn le connait, mais lui ignore encore sa Mission. Alors n'hésitons pas à aller sur le Site Sacré, voulu par Dieu, afin que nous recevions une grande Lumière, nous qui sommes dans les ténèbres depuis trop longtemps ! Nous qui croyons détenir une forme de vérité, et bien nous en sommes très loin de la pensée du Père éternel ! Voilà pourquoi, et pendant qu'il en est encore temps, parce que sous peu il sera trop tard, je vous invite cordialement à visiter le Site Sacré...<br /> <br /> QUI FAIT QUOI ? ET OU VA-T'ON ?<br /> <br /> UN SEUL SITE... LA VÉRITÉ ET LA VOLONTÉ DE DIEU, POUR SA SEULE GLOIRE ET LE SALUT DES ÂMES...<br /> <br /> LE SITE EST SACRÉ, CAR IL EXISTE PAR LA GRÂCE DE LA SAINTE TRINITÉ. MERCI DE PRENDRE UN PEU DE TEMPS POUR LE LIRE ATTENTIVEMENT, PARCE QU'IL RÉPOND A TOUTES LES INTERROGATIONS QUE NOUS NOUS POSONS : SPIRITUELLES, POLITIQUES, SCIENTIFIQUES, ESCHATOLOGIQUES, AINSI QUE CONCERNANT LE GRAND MONARQUE ET LE SAINT PONTIFE ANNONCÉS DEPUIS PRES DE MILLE ANS ! ...<br /> <br /> Alors le lire c'est bien, mais transmettre par le biais du Web et partager partout ce Site Sacré : c'est un Acte crucial de Charité chrétienne. Ce Devoir spirituel extrêmement important vaut toutes les prières, car en agissant ainsi, vous obéissez à la Volonté de Dieu et vous serez récompensés par votre Action sainte. Voyez-vous, on peut faire beaucoup, tout en restant chez soi. Merci de votre compréhension...<br /> <br /> Que l'Esprit Saint vous éclaire dans cette lecture Divine et que Dieu vous garde de la Tourmente qui vient...<br /> <br /> LE SITE SACRÉ : http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/ <br /> <br /> E-mail : frere-elyon@prophete-du-sacre-coeur.com
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